Récits Des Lectrices : Clotilde : Les Fellations (Partie 3/4)

Récit proposé par une de mes lectrices dont j’ai la lourde tâche d’écrire et de mettre en page, en respectant scrupuleusement ses aventures sexuelles qu’elle a vécues.

Gérard fut absent plusieurs jours comme prévu, elle avait fait le ménage partout pas un centimètre carré lui avait échappé, elle avait regardé le tiers des cassettes Vidéos, elle avait écouté les conseils et ne portait pas de culotte, ça elle savait qu’elle ne l’oublierait plus.

L’heure de son cours de sexualité approchait, Gérard allait bientôt rentrer, elle était déjà excitée, elle avait eu très envie d’utiliser la verge en silicone mais s’y était refusée, elle ne voulait pas être punie mais voulait surtout respecter Gérard qu’elle respectait et aimait au plus profond d’elle-même.

Elle portait sa petite robe légère à poids qui lui allait à merveille. Mais dès son arrivée, Gérard lui fit tout enlever afin qu’elle soit nue comme un ver. Après lui avoir servi l’apéritif qu’il avait demandé, il la fit mettre assise sur le carrelage de la cuisine pendant qu’il lui posait des questions sur les gestes et postures à utiliser pendant une fellation.

Après avoir visionné les cassettes plusieurs fois et s’être entrainée sur le godemichet, elle se sentait très l’aise et prête pour les travaux pratiques qu’elle attendait avec impatience. Gérard fut ravi, ce n’était pas parfait mais il l’avait félicité d’un baiser car elle avait énormément progressé, elle avalait entièrement son long membre sans tousser, sans aucune gêne :

— Tu seras bientôt la reine des suceuses de bites, Clotilde tu deviens une belle salope. Continue et fais-moi jouir. Tu peux avaler, prendre sur le visage ou sur tes seins, c’est toi qui choisis.

Elle commença par avaler son gland avec envie et gourmandise, elle était fière, son professeur l’avait complimenté. Lorsqu’il lui attrapa les cheveux et tira sa tête en arrière :
— Qu’est-ce que l’on dit ?
— Je vous remercie Monsieur de votre gentillesse.

Puis il plaça son sexe dans sa bouche allant au fond, elle s’appliquait, elle allait de sa verge aux testicules qu’elle prenait dans la bouche et les aspirait, puis faisait tourner sa langue pour l’exciter un maximum, elle avait la bouche pleine de salive, ce qui permettait de glisser comme il fallait et léchait tout ce qui ressortait le long de sa queue.

Il tenait sa tête à deux mains en faisant des mouvements lents et réguliers, elle voyait bien qu’il appréciait, ses râles lui disaient la même chose, elle devait faire le choix car elle sentait bien que sa bite allait cracher son venin, elle n’en fit rien, elle l’aspira au plus profond de ce qu’elle pouvait afin qu’il éjecte en longues saccades son sperme au fond de sa gorge, elle voulait lui faire ce plaisir.

Elle n’osa pas avaler, elle gardait tout dans la bouche, les joues rondes comme des balles de tennis. Gérard s’en rendait compte et souriait. Elle ouvrit la bouche et le sperme coula sur ses seins. Pour se rattr, elle se frottait la poitrine avec les mains, de ce liquide blanchâtre. Il en prit un peu du bout de son doigt en disant :

— Tu ne veux pas gouter ? Allez ! goutte ce n’est pas sale c’est des gosses.

Elle approcha sa bouche et aspira et avala sans respirer, elle ne voulait pas le décevoir.
— C’est très bien ma chérie, tu es ma salope, une vraie championne. Je t’aime. Allons manger, je ne suis pas là demain et ni ce week-end, je ne rentre que lundi soir. N’oublie pas, ne sors pas. Dimanche, ce sera une surprise pour toi.

Le dimanche, Gérard était rentré vers 17h00, il l’emmena directement dans sa chambre. Il sortit une boîte en carton et lui offrit, il avait dû l’acheter ces jours derniers. En lui disant « Ta tenue pour la soirée » Une belle petite jupe courte noire et un chemisier blanc avec un plastron en dentelle. Comme unique sous vêtement, des bas-résille et un porte jarretelles également en dentelle noire.

— Prépare-toi nous sortons ce soir, je t’emmène dîner à l’extérieur. Tu te rase entièrement, je ne tolérai pas un seul poil. Tu seras notre servante dans tous les sens du terme.

Elle s’était préparée tout était parfait, elle se regardait dans le miroir, elle se trouvait belle, très sexy mais pas vulgaire. Son maquillage était parfait et sa coiffure. Ce qui la gênait, c’était se retrouver sans culotte devant des inconnus mais pour faire plaisir à l’homme qu’elle aimait, elle n’y pensait déjà plus.

Ils s’étaient donc retrouvés au restaurant. À sa grande surprise, elle était la seule femme de ces lieux. La salle était pratiquement vide, seul huit hommes et le patron, sans compter Gérard, étaient installés autour d’une grande table au milieu de la salle. Sur l’ensemble des amis de Gérard, il y avait un jeune d’une trentaine d’année et son père qui lui, frôlait les 65 ans, les autres était de l’âge de Gérard qui prit la parole :

— Je vous présente Clotilde, c’est elle qui fait le service ce soir. Allez, amène-nous le premier plateau.
— Oui Monsieur, tout de suite.

Même si elle était prévenue, elle appréhendait, elle aurait préféré un repas en tête à tête avec son homme, mais elle allait faire exactement ce que son professeur chéri lui imposait.

En faisant le service, les mains de tous ces hommes se posaient sur elle, cela lui fit un grand bien de se sentir désirée. Le doigt du jeune s’était même glissé dans sa fente lorsqu’elle le servait, elle se tendit bien en arrière afin qu’il ait plus facile d’accès.

— Elle mouille déjà ! dit-il en riant.
— On ne va pas s’ennuyer ce soir répondit son voisin en lui pelotant sa poitrine.

Le maitre reprit la parole leur demandant de juger en centimètres le tour de sa poitrine. Le résultat serait délivré après le dessert.
— En attendant, vous avez le droit de vous faire sucer, Clotilde ne demande que cela.

Elle fut surprise mais s’était déjà fait à l’idée de ce qu’il voulait d’elle, elle serait bien sa salope, ce soir, elle n’avait pas le choix.

Dans un coin de la salle se trouvait un fauteuil, c’était l’endroit que choisit le plus jeune pour s’installer et l’inviter à le suivre. Elle avait compris ce qu’il attendait. Elle lui enleva son pantalon et avait baissé son boxer. Il était déjà bien excité.

Elle engloutit d’un coup précis son sexe encore légèrement mou, il grossissait dans sa bouche, elle le ressentait très bien. Elle suçait, léchait, branlait, à la cadence là, il n’avait pas tenu la distance, rapidement il ne put se retenir, il éjacula rapidement dans sa bouche, mais sa langue refaisait tomber la semence sur son ventre nu qui fut découvert pendant le service.

Elle se releva et resta debout à sa place sans même s'essuyer. Gérard lui montra du regard qu’il n’avait pas apprécié son geste. Elle était malheureuse, il fallait qu’elle fasse mieux pour les prochains.

Elle fit de nouveau le service en se faisant littéralement malaxer de partout, son bas-ventre appelait à l’amour, elle était excitée et jouit lorsque le voisin de Serge lui mit deux doigts dans le vagin pendant que son pouce caressait son clitoris, elle s’était cambrée à la limite de renverser son plat, l’homme s’essuya la main dans sa jupe, dévoilant ainsi ses fesses charnues à souhait que le vieux bonhomme prit à pleine main.

Le deuxième vint s’installer et Clotilde le pompa puis le troisième et le quatrième, le patron du bar voulut également gouter sa bouche. Ils avaient tous, très vite éjaculés dans sa bouche et elle n’avait pas perdu une seule goutte de sperme tout fut avalé, du bout de sa langue, elle léchait même les dernières gouttes qui sortaient de leur verge raides et tendues à souhait.

— Je te félicite, Gérard. Avait dit le patron, tu as trouvé une belle goûteuse de sperme.

Les autres avaient également remercié son maitre en disant qu’ils n’avaient pas menti, que sa salope était vraiment bonne. Elle était entre deux, elle ressentait un certain dégout de se sentir humiliée mais avait le profond sentiment d’aimer être considéré comme une salope.

Elle faisait cela pour son amour de Gérard mais cela lui plaisait. Elle avait envie de jouir encore. Ce fut le moment du dessert, le plus vieux avait reculé sa chaise et l’avait fait mettre assise sur la table, les jambes écartées.

Il s’amusait à mettre de sa glace sur son vagin, totalement dépourvu de poils et léchait goulument le chocolat. La sensation de froid sur son sexe et la chaleur de la langue du vieux qui fourrait à l’intérieur, lui faisait un bien énorme, la glace refroidissait le feu qu’elle avait à l’intérieur.

Au cinquième passage, la bouche de l’homme âgé reçut un jet de cyprine qu’elle lui avait envoyé. Elle avait crié en jouissant. Oui !...

Elle descendit de la table et il lui mit son pénis dans la bouche, il n’était pas très grand mais extrêmement dur et raide, il s’était posé une petite boule de glace sur le gland et ri lorsqu’elle l’avait avalé en l’aspirant.

Pendant la fellation, il mouillait son anus pour faciliter le passage de son doigt. Elle n’avait pas encore fait cela et elle craignait, mais il fut délicat avec elle, il voyait bien qu’elle était vierge de ce côté-là. Il pénétra un doigt en tournant légèrement puis le trempait dans son jus et recommençait, il était enfoncé complétement, il avait même enfilé deux de ses doigts lorsqu’il éjacula, elle n’eut aucune difficulté à avaler l’ensemble, c’était même agréable ce mélange de gout.

Une fois son affaire réglée, Gérard reprit la parole en sortant un mètre de couturière que le patron venait d’apporter :
— Bon maintenant Clotilde, mets-toi debout sur la chaise, nous allons mesurer le tour de poitrine.

D’après les résultats, c’était le vieux qui avait gagné le droit de pouvoir la prendre et de la baiser. Mais il en n’était plus capable, il laissa sa place à son fils, cela ne déplaisait pas à Clotilde, elle avait apprécié la taille et la grosseur de sa verge.

Jérôme repoussa les plats sur un côté de la table et installa Clotilde le ventre contre la nappe, le fessier bien en évidence. Il passa sa langue entre ses lèvres vaginales très humides et suçait son bouton durcit par l’excitation, jusqu’à ce qu’elle demande de la prendre.

Ce fut ce qu’il espérait, elle ne pouvait plus se retenir, il lui fallait une queue, elle tendait de plus en plus son cul afin qu’il lui rentre son gros pénis.

— T’en veux salope, dis-le, que tu veux ma queue.
— Oui Monsieur je veux votre bite.

Sans ménagement, il s’enfonça et la laboura, le jeune homme avait repris de la vigueur et donnait des coups de reins, pendant que deux des voisins lui triturait les seins à la limite de la douleur. Elle jouit une nouvelle fois en gémissant. Oui...Humm... Il sortit son engin et cracha son sperme sur les fesses tendues en râlant.

Clotilde regarda Gérard et le vit sourire, elle était fière de s’être donnée pour lui, il avait l’air très satisfait car il se leva et passa derrière elle, en disant :

— Maintenant elle a le droit d’être enculée, je m’en charge en rentrant.

Pendant le trajet du retour, Son maître lui fit :
— Bravo ma chérie, tu as été divine, la salope que je voulais que tu sois, tu l’as été. Je t’aime vraiment. Je vais t’apprendre à aimer la sodomie, tu l’as bien mérité.

Il ne savait pas si elle avait tout entendu car elle dormait déjà dans la voiture morte de fatigue.


La suite de l’histoire de Clotilde sera diffusée dans quelques jours.